On sort alors des capacités des moyens répartis dans les régiments d’artillerie classiques, adaptés à la zone d’intérêt immédiate de leur chef interarmes (brigade et division), et on accède au niveau supérieur au domaine tactique, pour se situer au niveau du besoin opératif, voire stratégique, selon la nature des opérations. Un seul régiment d’artillerie met en oeuvre ces moyens.
La performance observée de ces systèmes a donné l’idée de les employer également pour le Renseignement d’une façon générale.
On peut alors prétendre que les artilleurs de la surveillance et de l’acquisition sont les véritables successeurs de l’artillerie du Repérage qui est née pendant la 1ère Guerre Mondiale et acteur principal du service de Renseignement de l’Artillerie qui en est découlé.