Sous l’effet des pertes de la Grande Guerre et d’une idéologie de "défense", une doctrine en deux temps s’impose. Une phase défensive initiale doit permettre un gain de temps suffisant pour réunir les conditions (effectifs, armements, etc.) optimales pour une phase offensive au moment opportun. D’où : -* la création de la ceinture de béton (ligne Maginot, ligne des Alpes, ligne Mareth) associant la casemate et le canon de forteresse, -* la motorisation progressive de l’artillerie de campagne, -* la conception d’une artillerie autotractée en liaison avec les divisions légères mécaniques destinées à la manœuvre, -* le lent développement des Forces terrestres antiaériennes (FTA) et antichars.
La campagne de France montre la justesse du concept d’emploi de l’artillerie (Gembloux, Stonne, Voreppe), mais sans effet concluant en raison de :
Recommandation du conseil scientifique : D’un point de vue plus général, cette histoire de l’artillerie devra être mise dans le contexte général de l’entre-deux guerres (pacifisme et montée du nazisme), afin de prendre un sens pour le grand public et les scolaires.
Partie analytique de l’entre deux guerres :
Avancées techniques
Utilisation du canon sous casemate blindée automotrice = Char.
Lent développement de l’artillerie Antiaérienne (AA).
Repères historiques
Guerre du Rif
Conséquences en organisation
Conséquences sur l’emploi
Vitesse de la manœuvre.
Matériels représentatifs