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Après huit mois de « drôle de guerre », les armées d’Hitler passent à l’attaque le 10 mai 1940.
Bloqués par la ligne Maginot, les Allemands choisissent de violer la neutralité belge et entrent dans le territoire français en contournant l’obstacle. Leur objectif est de détruire la France et d’isoler la Grande Bretagne.
Ainsi, l’action allemande est rapide : franchissant la Meuse, ils foncent vers les côtes du Nord de la France afin d’y couper les armées françaises et anglaises. Cette phase prend fin à Dunkerque avec la perte de deux armées françaises et le rembarquement des britanniques.
Le lendemain, les Allemands lancent leurs chars sur la Somme, appuyés par l’aviation et l’artillerie. Les français se défendent en vain et sont bousculés, malgré une résistance courageuse.
Peu après, la Marne est franchie et dès lors rien n’arrête les panzers allemands qui roulent vers le sud de la France : le 16 juin, ils sont à Dijon et le 24 à Angoulême.
De son côté, l’Italie déclare la guerre le 10 juin, mais ses troupes n’arrivent pas à franchir la crête des Alpes fortifiées. Finalement, ce sont les allemands qui, arrivant de Lyon, attaquent à revers l’armée des Alpes.
Le 22 juin, la France n’a plus d’autre choix que de signer les armistices avec l’Allemagne et l’Italie qui entre en vigueur le 25 juin à 0h00.
La propagande allemande célèbre le succès de « la guerre éclair ».
La muséographie retenue pour cette période cherche à illustrer au mieux l’analyse qui vous est proposée en cliquant sur ce lien.
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Nombreux de ces épisodes sont l’objet d’écrits insérés dans les "Bulletins de l’artillerie" et autres ouvrages (voir en boutique).
Répartir ici les pièces afférentes à cette période (canon anti-char etc...)